J’ai le cul bordé de nouilles…

Publié le par Kanya

Autant de chance me paraît bien suspect ! Je soupçonne limite mon gars de contribuer, et, tous mes ex d’avoir grandement contribué, pour une bonne part à ma réussite sociale ! Mais comme je n’ai pas envie de jouer les détectives privées hystériques, je renonce à toute perquisition intempestive de son téléphone portable. D’une il s’est fait greffé son mobile à son oreille droite, (ça, vous le savez déjà !) et je me vois mal le lui arracher des mains ! De deux, j’ai autre chose à foutre que d’incarner l’héroïne d’Allias !

Au pire, je me dis que si Monsieur fait des écarts, les trop nombreuses langues de pute qui gravitent autour de nous, se feront un malin plaisir de colporter la nouvelle jusqu’à mes tympans ! Je me repose donc sur ces commères qui mèneront une investigation de manière beaucoup plus aboutie et consciencieuse que moi, si Monsieur ose lorgner d’un peu trop près du côté de toutes ces petites putes qui dandinent du troufignon devant lui !

 

Comme je ne vais certainement pas me prendre la tête pour ses beaux cheveux, je préfère penser que ma daronne du bled génitrice a cartonné question ‘‘vaudou’’ avant de me jetter dans l’avion en partance pour l’Hexagone !

 

 

A la base, quand cette expression populaire (citée en titre) surgit abruptement dans une  conversation, je ne peux m’empêcher de m’imaginer un rectum grouillant de petits vermisseaux tout beige ! Mais, en ce qui me concerne, ce n’est plus un cul que j’ai de bordé de nouilles, mais un saladier grouillant de spaghettis !

 

Quand on y réfléchit bien, cette expression populaire flirte avec la scatologie, là ! Non ? Sommes-nous donc tous des obsédés comme le prétend Freud ? Bonne question ! Si ça se trouve ce monomane de l’inconscient, du moi et du surmoi avait raison : notre psychique est un véritable orgiaque avide d’obscénités en tout genre !

 

 

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